Les 30 personnes présentes à cette sortie prouvent si besoin était l’intérêt pour la conservation des variétés locales de pommiers et autres fruitiers (poiriers, pêchés, figuiers, etc).
accueil du groupe et présentation de l’arbre fruitier en général
Quelques variétés locales de pommes
Dans sa visite commentée, Pierre a mis l’accent sur les 200 variétés qui constituent son conservatoire et sur les aléas de gestion des arbres liés aux attaques printanières d’insectes défoliateurs et les solutions biologiques qu’il met en œuvre.
Quoi mettre pour cicatriser la plaie de l’arbre.
Par exemple l’attaque de la chenille du Carpocapse qui a sévi cette année dans beaucoup de vergers : feuilles et fleurs ingérées et absence de fruit. En remède par exemple, Pierre plante au pied des arbres de la Tanésie qui est un répulsif naturel. Autres solutions : pulvérisation de Bacille de Thuringe et attirer dans le verger des mésanges.
Pierre est en permanence sur la mise en œuvre de techniques expérimentales éprouvées de bouturage, de semis et de constitution de substrats de culture.
Son expertise reconnue le met en relation avec des arboriculteurs de Belgique, de Hollande, d’Allemagne avec qui il échange des graines et pratiques.
Riches échanges d’expérience.
Les nombreuses questions posées par les participants ont trouvé réponse auprès de Pierre.
La visite s’est terminée par une grande tablée conviviale autour de jus de pomme et cidre de son verger accompagnés de gâteaux.
Une partie du groupe.
Texte et photos du 7 octobre après midi : Jean-Yves, Philippe et Marie-Paule
